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25-11-2024
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17 - 09 - 2024
Beaucoup diront : ce risque est connu depuis des décennies dans la profession.
Et pourtant des études, comme celle réalisée par Anna Norhammar et Per Näsman, publiée en septembre 2024, objectivent ce lien et concluent : "ce suivi pré-planifié de l’étude PAROKRANK a révélé une augmentation du risque d’événements cardiovasculaires et de décès en présence de maladies parodontales".
Avec le précédent rapport cas-témoins sur une association entre la maladie parodontale et un premier infarctus du myocarde, les données actuelles soutiennent l’hypothèse selon laquelle la maladie parodontale peut augmenter le risque cardiovasculaire, en particulier chez les patients atteints de maladie coronarienne.
Nous sommes tout à fait dans le cadre de la dentisterie prédictive et de l’importance de l’avis du chirurgien-dentiste dans l’évaluation d’un risque cardiovasculaire chez les patients atteints de maladies parodontales.
* Suivi à long terme (plus de 9 ans) de l’étude PAROKRANK
par Marcel Perroux
Conseiller du Président de l'Union Dentaire
Chirurgien-dentiste à Montceau les Mines (71)
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